Dernière phase bien avançée !
Les travaux ont repris depuis le lundi 16 août : création d'une banquette rive gauche et aménagement des accès à la rivière pour les jardins.
La reprise des travaux s'est faite avec une semaine d'avance sur les prévisions et devraient durer moins longtemps que la 1ère phase. La pose de la banquette est déjà presque terminée. On peut regretter qu'elle soit si rectiligne et manque donc de sinuosité. Seuls deux épis (avancées) brisent la monotonie du lit mineur. Dommage !
Une fois cette partie aval terminée, il restera à aménager les accès aux deux cheminements (rives gauche et droite) et à effectuer un "décapage" en partie amont, au dessus du Pont du Moulin.
Le portail de promotion de la France à l'étranger, France.fr est accessible, a annoncé lundi le Service d'information du gouvernement (Sig).
Après des débuts calamiteux, une fermeture quelques heures après son lancement (La vitrine hexagonale sur le web, France.fr a furtivement démarré sa carrière le 14 juillet avant d'être indisponible le 15.), un changement d'hébergeur, le public peut dorénavant accéder au site France.fr. Il a été lancé pour permettre à la France de posséder son premier portail d'informations pratiques. En novembre une version plus complète (2.0) sera mise en place. le budget total du site sur trois ans dépasse 1,6 million d'euros ! A croire que les choix budgétaires ne tiennent pas là encore en compte la crise et les priorités sociales ...
Ce site s'adresse principalement aux étrangers -mais est aussi très intéressant pour les français- qui souhaitent obtenir des informations touristiques ou professionnelles (sociétés, expatriés, etc.) sur la France. Il est disponible en 5 langues et comprend près d'un million de documents. Plusieurs rubriques sont mises à disposition, « connaître » avec des cartographies interactives; « visiter » recensant le patrimoine touristique de la France; « vivre » ; « étudier » ; « travailler » et « entreprendre ».
Complet, le site affiche déjà 3.000 pages en 5 langues, 12.000 liens et 1 million de documents indexés !
Vous pouvez consulter les pages sur les plus beaux villages de France, l'aide à la petite enfance ou bien encore les rôles du Conseil Constitutionnel...
Refroidissement des volontés politique et industrielle vs réchauffement climatique
Il y a un an, la lutte contre les effets alarmants du réchauffement climatique mobilisait toutes les énergies.
Aujourd'hui, et après l'échec du sommet organisé par l'ONU à Copenhague en décembre 2009, l'enjeu climatique semble avoir disparu de l'agenda politique mondial.
Les catastrophes naturelles se multiplient depuis quelques semaines. La canicule et les incendies en Russie, les inondations record au Pakistan, en Inde et en Chine, la sécheresse et la crise alimentaire au Niger, témoignent de dérèglements dramatiques.
La réunion internationale sur le climat à Bonn, du 2 au 6 août, avant-dernière session de préparation à la Conférence de Cancun,
au Mexique, en décembre, a été marquée par davantage de reculs
que d'avancées, au point de remettre en question les rares acquis de
Copenhague. "Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de parvenir à un accord global et contraignant à Cancun", a admis le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, lundi 9 août.
Le principal objectif fixé est connu : limiter le réchauffement à 2 °C. Pour y parvenir, les pays industrialisés doivent avoir ramené, en 2020, leurs émissions de gaz à effet de serre de 25 % à 40 % en deçà de leur niveau de 1990.
Les engagements mis à ce jour sur la table par les pays industrialisés permettront au mieux une baisse des rejets de CO2 de 14 % à 18 %!
La France, par exemple, malgré un plan climat parmi les plus volontaristes (mais avec peu de moyens), n'a pu que stabiliser ses émissions depuis 1990, sans parvenir à les réduire, comme vient de le révéler le commissariat général au développement durable. Les belles paroles et promesses politiques qui nous endorment et nous illusionnent tuent la planète à petit feu ! Et que dire des industriels qui courent après des bénéfices de plus en plus importants ...
500 € de franchise pour les accidents avec la faune sauvage
PARIS, 6 août 2010 (AFP) - Une franchise de 500 euros a été rétablie pour le règlement des sinistres d’accidents de la circulation provoqués par les animaux sauvages, selon un décret du ministère de l’Economie publié vendredi au Journal officiel.
Une franchise de 500 euros sera désormais exigée pour le règlement des dégâts causés sur un véhicule par un animal sauvage. Depuis juin 2007, le Fonds de garantie (FGAO) indemnisait au premier euro les sinistres provoqués lors des collisions avec un sanglier, cerf, ou tout autre animal sauvage. Mais suite à l’augmentation croissante du coût de l’indemnisation de ce type d’accidents, un décret du ministère de l’économie publié vendredi 6 août au Journal Officiel vient mettre un terme à cette règle.
Cette franchise s’appliquera aux accidents survenus à partir du samedi 7 août. Les automobilistes ayant eu un accident avec un animal sauvage avant cette date auront six mois pour adresser leurs dossiers au Fonds de garantie.
En 2008, 42 000 accidents, impliquant la faune sauvage, ont coûté 21
millions d’euros d’indemnisations pour le seul Fonds de garantie.
Quatre départements de l'Est (Moselle, Bas-Rhin, Haut-Rhin,
Meurthe-et-Moselle) figurent parmi les onze départements les plus
touchés par ce type d'accidents.
Ciconia ciconia s'est posé à Moyenvic
Dame cigogne blanche a fait une brève étape dans les champs moyenvicois.
Un photographe a eu la présence d'esprit d'immortaliser cet instant assez rare pour être signalé.
Merci Roland
Rappelons qu'au domaine du Lindre ces cigognes se sont sédentarisées et nichent tous les ans. Il n'est pas rare de les voir chasser -des vers de terre, de petits rongeurs, des insectes, des batraciens, de petits reptiles, etc- dans les prairies et de les entendre craqueter (ou claqueter).
Quand l'agriculture façonne le paysage
Morceaux choisis de quelques vues glannées au gré des balades estivales autour de Moyenvic.
Commentaires
discher le 05-09-2010 à 17:09:15 #
Ces travaux sont un véritable massacre. La remise en état des quais (classés) ainsi que la mise en place d'un barrage simplement opérationnel aurait largement suffit.
Tout cet argent dépensé pour rien!
L'usine EFKA aurait pu en profiter pour garder de l'activité sur Vic.
C'est une véritable honte.
Discher Hervé