Les travaux de renaturation de la Seille dans la traversée de Vic/Seille viennent de commencer
un barrage maillé est tendu en aval des travaux
Une pelle est descendue dans le lit de la rivière, au niveau du barrage (partie aval des travaux).
Objectif : retirer la lame qui git au fond de l'eau. Pour cela, il va falloir la découper en deux au chalumeau. Il faut donc mettre à sec une moitié de la pièce.
Le conducteur de la pelle a donc monté un barrage amont et aval pour assécher.
Malgré l'aide d'une motopompe et le vidage par godet, l'eau s'infiltre sous la lame et rempli rapidement le bassin créé.
En fin de journée, la partie est gagnée par l'onde malicieuse...
PECHONS PRUDENT
Cette fin d'été chaude est propice aux parties de pêche.
Attention !
Levez les yeux pour repérer la présence d'une ligne électrique.
Il serait dommage de finir la journée à l'hôpital ...
document à lire et/ou à transmettre aux amis pêcheurs
LA SEILLE BIENTOT EN TRAVAUX
Les travaux de création d'un lit mineur (ou d'étiage) sur la Seille dans toute la traversée de Vic/Seille vont commencer après le 15 août. Les riverains viennent de recevoir un courrier de la Mairie. Les pêcheurs vicois, utilisateurs concernés, attendent l'information ...
Ci-dessous le courrier
Nous vous tiendrons informés dès le premier coup de pelle dans le lit de la rivière !
Les abricots moyenvicois sont mûrs
Dans notre région, l'abricotier fait figure d'extra terrestre. Le climat trop rigoureux du printemps et l'humidité ne permettent pas une culture répandue de ce délicieux fruit en Moselle.
Cette année, les fruits sont nombreux et plein de promesses sucrées. La récolte s'annonce exceptionnelle par le nombre. Elle vient de commencer et doit se faire rapidement. L'abricot ne supporte pas la pluie et pourrit rapidement sur l'arbre.
A Moyenvic, nous ne sommes que quelques "heureux" privilégiés à posséder un abricotier.
Variété d'abricot des photos : Bergeron, résitante au gèle et autofertile
Des mesures environnementales pour 32 captages lorrains menacés
Le Meeddm a publié mardi 30 juin la liste des 500 captages les plus menacés par les pollutions diffuses, en accord avec l’article 24 du projet de loi dit Grenelle I de l’environnement. Des programmes d’actions spécifiques y seront mis en œuvre.
Le ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer (Meeddm) les appelle les «500 captages Grenelle». En réalité, ils sont 507, mais ils correspondent à la première phase de réalisation des objectifs de l’article 24 du Grenelle I: «assurer la protection des 500 captages les plus menacés par les pollutions diffuses (1), notamment les nitrates». Après avoir étudié les analyses de vulnérabilité des sites de captages transmises par les directions départementales des affaires sanitaires et sociales (Ddass), les services déconcentrés des trois ministères (Meeddm, santé ainsi qu’agriculture et pêche) ont retenu 507 captages prioritaires, en concertation avec les élus et associations locales.
Le choix a été opéré sur la base de trois critères: l’état de la ressource vis-à-vis des pollutions par les nitrates ou les pesticides, le caractère stratégique de la ressource au vu de la population desservie, et enfin la volonté de reconquérir certains captages abandonnés.
La phase II va pouvoir se mettre en place. Il s'agit de mettre en œuvre des programmes d’action pour assurer leur protection effective :
- phase d’étude préalable doit permettre de délimiter le bassin d’alimentation de captage
- un plan volontaire est défini, comprenant des mesures sur la qualité de l’eau (ex : réduction des intrants, mise en œuvre de bandes enherbées, des rotations de culture, voire passage à une agriculture biologique, échange de terrains hors secteur sensible ou leur acquisition par les collectivités ...)
La phase de concertation avec les acteurs agricoles, pour valider le plan, est ensuite déterminante.
Les 32 captages lorrains concernés
Le programme d’action doit au plus tard être déterminé à l’automne 2011, pour permettre la mise en place des mesures agro-environnementales volontaires d’ici mai 2012. Il est principalement financé par les agences de l’eau, le ministère de l’agriculture et de la pêche et l’Europe.
Commentaires